Le lieutenant amor a la lueur dune lampe électrique étudiais des
plans des cartes . Des ordres, tournais, des boutons de radio et
déverser autres postes qui couinnais, sans obtenir de résultat.
Le lieutenant sénervait , Il me dit chef jacquet, je cherche la liaison
et je ne la trouve pas, il faut que vous partiez en avant et chercher
a établir cette liaison avec l'unité voisine, ou en face.
Armer de mon fusil, je partais dans les vignobles. Je tombais sur une
route désserte. Une vallée, ou il y avait des cantonnements mais
vident les boches les avaient évacuer en vitesse, car il y restait pas
mal de munitions et armements
Il pouvait être une heure du matin, je quittais cette vallée et
regagnai la route, ou je prenais quelques minutes de repos
alongé sur le talus , un grand chateau cacher par la verdure
se trouvais a 500 mètres de moi je fixai la porte d'entré, car il
mavait sembler avoir vus un rai de lumière, je franchi le talus
de la route traverse les pelouses. arrive a la grande porte cochère
qui était ouverte, je pénètre a l'intérieur, une autre porte mal
fermer, dou sortait cette lumière, je tirai légèrement cette porte
penchés je regardai donc cette grande pièce éclairé, sur de grande table
des cartes, et tout un Etat–major Boches réunis dont plusieurs
généraux, seule que pouvait je faire, je regagnais la route quand
jentend le moteur d'une voiture, et mon nom prononcer, cétait
le lieutenant qui me recherché, la liaison avait été rétablie
en deux mots je le mettais au courant de ces Généraux Boches
dans ce chateau ou il était si facile de les faire prisonniers
jétais bien décider avec une escouade armée, a allér cette
jolie collections de gredins : Le lieutenant amor ci est opposé. ce refus
m'avais contrarié... même blessé.
dans ces vigniobles, nous avons pris position, former une ligne de défense
et la nous attendion sur cette colline. Après une synécure de trois semaines
nous étions relever et conduis au repos dans la Banlieue de marseille
aux roses et aux olives, nous étions loger chez les habitants. après un
repos de quinze jours, nous quittins cette régions , et nous allions
prendre position dans lesjardins D' Aix-en-Provence. la il fallait se
tenir sur ses gardes, avec la résistance, surtout la nuit, car ils avaient
de sérieux compte a réglés avec la bande à (joseph) Darnand, et autre.
Nous avions recus des jeunes en renfort, parmis ces jeunes, je remarquais
un, qui prenait soin de mes affaires, de mon fusil et équipement je
létudais, il avait une bonne tête, un poilu de confiance, je désirais
le conserver et en faire mon ordonnance. Je lui demander sont nom
Bachelay. Je suis né dans le Jura à St. Amour. Je nai pas de parent
c'est des marchands de Fromanges qui m'ont trouvé dans un fossé au
bor de la route, ils m'ont élever, garder, ils avaient six enfants, c'était la
misère, c'est pourquoi je me suis engager. A cause de la nourriture, en plus
je suis venu au monde sans dantition, et je suis illettré.
À partir de ce jour, tu seras mon ordonnance, tu assurera ton service comme
les autres, mais tu auras la responsabilité de mes affaires. Oui chef
c'est de cette façon que recrutait comme Tampon le solat Bachelay. L'homme
sant dentition, c'était un brave garçon. Il ma rendu de précieux
services.
(Retranscription de Victoria Beaugillet de 1er S3 septembre 2014)
Source google maps église Brotte les Luxeuil - https://www.google.fr/maps/@47.756009,6.346608,3a,75y,336.76h,91.49t/data=!3m4!1e1!3m2!1sqCUrMYEEBOAwwMChCv3g3w!2e0
1120 - retranscription assurée par Marion G - 1er S3 - le retour au foyer à Brotte les Luxeuil près d'Epinal
Je buvais du café Boche avec des glands de chênes et de
l’orge grillée, arrosée de prunelle c’était buvable. En plus ce breuvage réchauffait
l’estomac. Le temps passait et Maria Grignan ne revenait pas, elle avait une
langue. Je me décidais à descendre au village, c’était un évènement, les
Boches s’étaient sauvés dans la nuit, avaient quitté le village, en abandonnant leurs
morts « deux tués en bordure de la route » ainsi que du gros matériel.
Moi, un enfant du pays, un soldat à la tenue américaine avec le
grade d’Ad. Chef, porteur d’un fusil, et un gros carton sur l’épaule,
je dévalais la route du village, les enfants et parents à ma vue se
sauvaient, deux personnes prévenues par Maria, me reconnurent ; c’était
Lucie Bourgogne et Henri Mougin en compagnie de sa femme : des réfugiés.
J’arrivais à 200 mètres de la maison de famille, Maria était sur le pas
de la porte d’entrée de la maison, à discuter avec ma mère, qui ne croyait pas
aux bavardages de Maria, qui était une brave femme mais blagueuse. Je
débouchai de la ruelle, Maria me tournant le dos, se retourna, et me
voyant arriver : « vous ne me croirez pas, le voilà qui arrive. »
J’arrivais juste pour recevoir ma mère, évanouie dans mes bras, (?) faire
seule, car Maria avait pris la fuite, la tangente.
Je transportais ma pauvre mère, inerte dans sa chambre, je constatai
que sa respiration reprenait sont rythme normal, j’en profitais pour
inspecter le garde manger, comme vivre il n’y avait rien, tout était
vide, c’était la misère cachée.
Ma mère revenait à elle, je lui tapotais les tempes avec un linge humide
d’eau, elle était heureuse de me revoir, mais ce qui l’inquiétait : les premières
paroles qu’elle prononça furent : « mon Dieu, qu’allons-nous manger, c’est affreux. »
« Mais maman, regarde ce que j’ai apporté comme vivre, ce gros carton. »
« Je veux voir, il faut me lever. » Je prenais ma mère dans mes bras et la
déposais dans un fauteuil, elle était contente, j’approchai la table près
du fauteuil de ma mère, et là je déballai les vivres du carton et les déposai
sur la table. Des boîtes de conserve de viande, de pâté, de jambon, du café,
du chocolat, des pâtes, du riz, des biscuits, des bonbons, deux pains carrés
anglais, etc… Ma mère avait des vivres pour plusieurs mois : le Colonel
avait bien fait les choses, pour moi et pour ma mère. Je me faisais
un plaisir, à mon retour à Bâle, d’aller le remercier.
Toutes ces victuailles, je les remisais dans l’armoire de maman, car
il nous arrivait des curieux amis et autres qui avaient tripatouillés
avec les Boches, et qui cherchaient à se faire passer pour des résistants !!
La nuit était arrivée, j’avais besoin de me reposer et d’être seul avec ma mère
car le lendemain j’avais rendez-vous à Midi avec le Lieutenant Jeager
pour poursuivre la mission, dont il était chargé.
Ma mère s’était bien remise, elle me posait quantité de questions, je la
rassurai de mon mieux, avec la certitude, que nous allions quitter la
région de Bâle, et venir cantonner dans la région, que je lui ferait
savoir par lettre : qu’elle n’avait pas à s’inquiéter pour moi.
L’heure du départ était proche, je quittais ma chère mère et me rendis
au rendez-vous fixé devant l’église à midi, heure militaire.
Je regardais le fond de la route lorsque je vis la voiture jeep
américaine déboucher à toute vitesse, et venir se ranger auprès
de moi, j’étais content de retrouver le Lieutenant en bonne forme.
Il avait été canardé à plusieurs reprises, sa mission à Epinal était remplie.
(Retranscription Anne-Cécile ROUILLIER, 1ère S3 - 12 octobre 2014 et repris le 1er Décembre 2014)
Feuillet n°1125 :
Cette nuit je l’avais passée au magasin à mites avec l’ami Bachely
magasinier, dont il était responsable, le caporal étant partis en renfort.
Que de choses s’étaient passées pendant mon absence de dix jours :
1er : que le Lieutenant Amar était punis de 70 jours d’arrêt de rigueur
avec un groupe de copains, des associés : un mélange de camions de
garage, de métaux, etc… du tripatouillage.
2ème : accident et mort d’une jeune fille la nuit par camion non autorisé
de circuler la nuit, et sans autorisation de sortie.
3ème : vol de Bestiaux sur (?) en Allemagne.
4ème : convocation au conseil de guerre de Besançon, comme témoin
pour une affaire, dont j’ignorais, n’étant pas présent à l’unité.
5ème : bagarre dans, établissement public, etc…
J’avais repris mes fonctions de chiens de quartier, à la cuisine, les cuistots
avaient été remplacés, la consigne avait été respectée, au sujet
des pauvres et des vieillards, qui venaient recevoir la gamelle de victuaille
à midi à la cuisine.
Je recevais du courrier pour le Lieutenant Amar qui était aux
arrêts de rigueur, détenu dans une villa, en dehors de la ville
de Bâle, je lui portai moi-même, cela pour me permettre d’entrer en
liaison avec lui. C’est le planton qui reçoit le courrier.
Je me rendais dans ma chambre pour faire un brin de toilette, je
trouvais ma propriétaire, malade et inquiète de mon absence
et de ne recevoir aucune nouvelle de moi : je m’excusais tout en
lui expliquant que nous étions en guerre et que nous devions exécuter les ordres reçus.
Le beau temps était revenu, les nouvelles étaient bonnes, les boches
fichaient le camps, de tout côté c’était la débâcle.
Certains bruits circulaient que nous allions quitter la région
de Bâle et avancer proche des zones de feu, qui était exacte car
certains convois déménageaient et prenaient la direction de Belfort.
Notre tour n’allait pas tarder. C’était à moi de prendre des mesures à ce
sujet. Je me rendais au magasin, auprès de Bachely et le mettais
en garde d’un futur déménagement, de se tenir prêt. Je lui confiais
un poilu pour le seconder dans ce grand magasin d’armée,
quant aux deux cuisines, il en était de même mais un problème se
posait, celui d’Hitler le sanglier, qui avait pris de la grosseur et
de l’embonpoint, comment le transporter ? Le mieux était de le tuer, j’en
parlais aux (?) et aux Cuistots, qui tous étaient de mon avis. Il y avait
aussi deux cochons, c’était les cuistots qui les avaient soignés. Je n’avais pas
d’ordre à leur donner à ce sujet. C’était à eux de prendre une décision.
J’allais voir le Sergent-Chef du Garage, un poilu âgé de 30 ans, à ma vue
se glissait en vitesse sous le camion, il ferait semblant de réparer, de graisser
ce camion. Plusieurs fois, j’avais remarqué la façon d’agir de ce poilu.
J’en touchais deux mots au Sergent qui me dit que c’était un engagé
et le meilleur de ses mécaniciens. Je lui touchais deux mots sur notre futur
déplacement et pour prendre des mesures à ce sujet.
Le lendemain, Hitler le sanglier et les cochons étaient sacrifiés et livrés aux
cuisines. Ce fût la joie et la bombance pendant plusieurs jours. Nous
avions touché des pommes de terre, et nos cuisiniers, avaient préparé
un ragout maison. Les pauvres balzans ne furent pas oubliés comme il y avait
Feuillet n°1125 :
(Retranscription Anne-Cécile ROUILLIER, 1ère S3 1er janvier 2015)
age 1 :
Nous avions au matchiali du château, nous attendion les ordres
notre guide jugen que la mission était terminé nous quittais
un mur de plusieurs mètres de hauteurs a langle une tourelle
au bou de cette livurelle, une porte étroite, de cette porte, sortait
un officier qui venait nous recevoir, et nous introduire au Château
cette tourelle linterieur, n’était qu’un escalier, eclairer, nous montions
cette escalier en haut a la sortie nous arrivions sur une vaste terrasse
garder militairement
cette terrasse était éclairé par la lumière, dans une grande salle à manger
ou il y avait réception, nous étions aveuglé ébloui par cette lumière
nous étions reçus dans cette salle a manger, qui était rempli d’officiers
de nombreux Généraux, Colonels, etc il y avait des dames en toilettes
discrète, le sernée de table était assuré pour des maitres d’hotel en
grande tenue, il pouvait être 10 H du soir, peut etre plus, ces dames
c’étaient discrètement retiré. Les officiers au salon discutaient par groupe
et disparraient, le Lieutenant Jeager était revenu ; il me dit quelle journée
je suis crever, je nai rien mangé qu’un casse croute a blonliere , moi
aussi j’avais l’estomac aux talons
Un maitre d’hotel nous preparais la table, un autre en grande tenue
nous présentais les plats nous versais a boire, nous devarions
nous avions bien manger, et nous desirions nous reposer, un maitre
d’hotel conduisis le lieutenant dans sa chambre et moi dans la mienne
La neige était tombé toute la nuit, les routes étaient impraticable, nous
étions Hoqui dans ce château, le Lieutenant avait avoir un message
par Radio avec la PC de Bôle, qui nous disait doutterribre, des instructions.
Page 2 :
Le lendemain, je passais la journée dans les caves souterrain avec les
Rodles a attendre des instructions du P.C de Dôle, je constatais que le
château était vide, j’allai manger a la cuisine des Radios et coucher
dans ma chambre. La neige continuais de tombé, ensuite les gelés
le dégel le vergla, nous étions bien dans ce château, la température
c’était adoucie, la neige, sur la toiture avait fondu
disparue, mais de la cour terrasse je regardais cette toiture qui était
luisante exposer au soleil elle donnait l’aspet detre veris d’une
couche d’or ou de dorure
Le Lieutenant, profitant de la douceur de la température, en profité
pour réviser la Jeep voiture remise chez le fermier.
Le lendemain à midi nous recevions des messages du P.C de Dôle
que notre retour a Dôle était fixé au lendemain, par la route
Belfort. Besançon, Dôle, départ à 7 H 30 du matin
il fesait beau peut frisquet, une gelée blanche, nous étions contacté
par radio : à 7H30 le Lieutenant Jeager et moi quittions le château
que javais batisé « De Lattre de Tassigny » nous cherchions, par
des chemins détourné de Campagne, a gagné les grands route de
Besançon. Nous étions favorisé par le beau temps. Nous arrivions a
sur les coups des 4H au P.C de Dôle. le Lieutenant Jeager était un
pilote de voiture épatant.
Le lendemain je reprenais mon service mais il y avait eu du
changement. ces quelques jours d’absences, je voulais remercier le
Colonel, mais il était partis au Front en ligne. avec d’autre officiers
ainsi que de la troupe.
(retranscription d'Anaïs MARIE - 1er S3 - 14 octobre 2014)
archives famille Jacquet: "carte de vêtements et d'articles textiles" Jacquet Augustine 19 août 1942 -
Page 1 :
Des vestes en tenues militaire du Rotriots les derniers tourichement une double
rations ; une usine fabrique du pain depuis la maison Ragaut de Bèle
en délivrant contre ticket. Je me hasarotait et me présentais au bureau
et demandais des pains dépicier ; pas pour moi mais pour ma mere
car je penserais aller en permissions et lui en faire la surprise le cadeau
qu’elle aimait le mieux ; la bureaucrate me repondit qu’il fallait
des tickets, etc, etc je la remerciais ; je passais devant le guichet de
la caissiere. Jentant cognier a la vitre, je me retourne, c’était la caissière
qui me fesait signe ; je me présentais a sont guichet. C’était une femme
de quarante ans, elle me dit ; c’est bien vous qui vous occuper des
militaires et des cuisines d’Azan, oui madame, jai entendu votre
conversation , au sujet du pain depicier pour votre mere et le bureau
vous les a refuser, et bien moi, je vais vous les donner et sans tickets
elle sonna une jeune fille se présentait ; et revenait avec un carton
contenant quatre beaux pains d’épices. Je réglais la somme et
remerciais cette Dame. Par curiosité je me rendais a la gare, je voiyais
un grand type qui se pavanait, un képi a cinq galons sur la tete, un
étuis à revolver qui pendait a la mode américaine, je demandais qui
était cet homme, c’est le fils de M.M, un nouveau, résistant de la dernière (heure?) fusiers
jétais fixé. Je rentrais à Azan , avec mon petit carton a la main , je passais
aux Cuisines, une Dame agé de 70 environt, se presentais, c’est moi
qui demeure dans ce château, jen suis la propriétaire, je venais vous
inviter pour le Café demain Dimanche a 2H de l’apres midi, nous seront
entre amis, en toute simplicité, je vous remercie madame de votre invitation
qui ma fait grand plaisir ; s’il n’y pas d’ordre de départ ou autre a 2H je
Page 2 :
serai votre invité Madame. C’est entendu à 2 H et merçie encore Madame
le lendemain il n’y avait rien de nouveau, à 2H je me rendais au château
ou madame la chatelaine me recevait en grand trallala de toilette et
me présentait a toute une niché de vieilles Dames et de Demoiselles qui cherchait
un mari. Les gateaux le café les liqueurs, en bassesme remerciaient
me complimentais sur la bonne tenue des poilus et leurs conduite
de ce que javais fais vis-à-vis des pauvres et des personnes agés et infirmes
que la population d’Azan garderai de ma personne un precieux souvenir etc
cétait aux premier mois de 1945. Javais chez le notaire, son
bureau, je le surprenais et jallais minstaller au magasin avec le
camarade Bochelay.
L'ordre du depart était arrivés, cétait le Brandelas dans l’unité
il fallait etre prit à 11H, du matin car à 11H30 nous prenions pleins
a lechelon, qui nous était réserver sur la route de Besançon. Tout allait
régulièrement, il fesait beau. Un temps su. La désarticulation du
convoit commencais. Car notre unité, quittait la grande route ; pour
prendre la route de Beaume. Les bames, la température avait changer
et sur cette route, nous subisions, une tempete des tourbillons de neige.
Enfin nous arrivions a la nuit a Beaune. Les Dames ou nous y passions
la nuit. Tant bien que mal jébergais dans la famille Trenaille réjouient
en vin : a 5H du matin nous reprenions la route mais par un beau temps
nous allions dans la Haute. Suons a Villersexel, nous arrivons à 3H30 de
l’après midi. La nous nous y installions. Je recevais une chambre chez M.
le juge de paix. Cette chambre réquisitionner pour moi était trop vaste trop jolie
(Anaïs Marie. 1ere S3. Le 15/11/14)