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Sur les traces d'un petit soldat dans deux guerres mondiales (Victor Joseph Jacquet 1895 - 1985)

Victor Jacquet se souvient avec nostalgie de la "belle époque"

Publié le 21 Janvier 2015 par vj&c&tg&bp&mo&bo& in belle époque, Paris, Belfort, guerre, krieg, CRP, Camp retranché de Paris, église, juin 1914

1141

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En 1909, alors que j’avais 14 ans mon père décide de me faire entrer au service hôtelier à . Les beaux hôtels des sources je gagnai 30 par mois, pendant la saison tout allé bien mais après la saison en septembre ce service change de patron que j’avais. Il était plus exigeant que l’autre. Une vocation se présenta pour moi, que je remarquais une famille venant de Paris. M. Raymond propriétaire du magasin de souries. Rue du 4 septembre à Paris. Un emploi avec un traitement de 70 par mois plus les frais de voyage et dépense à leur charge : mais je devais prendre mon service entre le 12 et le 15 novembre 1910. J’acceptais, je donnais ma d émission à mon ancien patron. Je me rends à l’adresse qu’il m’avait donné au 52 Hoche Paris. Je fus bien reçu. Je restais le mois de novembre à ne rien faire mais au 1er décembre j’étais au terrier de M. Raymond dont les Bureaux étaient installé R.C du 54 de la même avenue. Je demeurais à son terrier jusqu’à 1912 : ou lui et sa famille partait en Amérique au texas ou il avait des terrains et des puits de pétrole. Il ne donne une recommandation que j’espérai pour la prasdi quelque jours après, je reconnait une épreuve de présente à l’Hôtel. L’Ambassade app. X de 9h à 10h Boulevard Hausmann à Paris

Victor Jacquet (1141) Retranscription de Touzani Gabriel 1er S3

1143 retranscription assurée par Brochard Paul

1143 retranscription assurée par Brochard Paul

Je me présentai à 9h30 à cet adresse, avec la lettre reçue

La je me trouvais en présence de deux jeunes hommes de

mon âge environt, parlant assez bien français mais avec

un accent Anglais, le père c'etait esquiver derrière la tente.

Pour un pauvre garçon comme moi, je ne désirais pas

a leur servir, je les trouvais trop luxueux, ils m'offraient

90francs par mois, plus deux costumes civils, coupe Anglaise.

à l'avenir, je consentai, à rester jours avec eux à

titre d'essai, après ces quinze jours j'étais libre de rester

de partir ; ils étaient si bien aimable humain avec moi,

que je demeurais avec eux.

Ils touchaient chacun une pension de 33,000

par mois.

Je pensais que c'était les deux frères, non. c'était des

cousins. Orphelin de mère, les deux soeurs.

Le plus âgé, sont nom était Elmer, et fils de l'Amiral

Winslow « Amiral Americain ».

Le nom du jeune était David Hutchin.

L'Amiral Rial Winslow, devint diplomate Américain

c'était un homme très pieu, aimable, poli, juste

mais très sévère pour ces deux jeunes gens dont il était

le tuteur, des biens maternelles, dont la fortune était unsistée

la soeur de leur mère Miss. Korburne demeurait rue « Spontini » Veuve sans enfants

était propriétaire en Amérique d'une compagnie de chemin de fer comparable

la compagnie des chemins de fer de l'Est de la France.

Elle aimait ces jeunes gens, et des chèques leur parvenait

assez discrètement.

Ces jeunes gens louais, un appartement meublé luxueux pour

trois mois, ceci pour les fêtes de la Chrismas Noël, ou

ils donnaient de grande réception aux membres diplomatiques

et colonie Américaine de Paris.

Une maison spécialisé était chargé de ce service, après ces

fêtes. C'était un grand voyage à travers l'Europe

Mon service n'était pas trop pénible, j'étais l'intermédiaire

entre l'Amiral et les deux jeunes gens, et des service banquaire

règles les dépenses d’hôtel, des voyages, bagages, etc, etc, et les

accompagner dans leurs sorties, quand ils le désiraient.

Je devais tenir une comptabilité en règle, car avec l 'Amiral

un sous était bien cinq centimes, il ma donner de bonne

qui mon bien servit par la suite

l'Amiral était un brave homme, un militaire, mais trop près

de sont argent, son fils Elmer ne l'aimait pas ainsi que

son neveu David.

L'Amiral venait souvent me voir, prendre le thé avec moi

en salon, conversé, il me racontait ces Histoires de guerre de chine

ces batailles en mer. Souvent, il me disait, ha, oui Victor

si seulement javais un fils comme vous je serais le plus

heureux des hommes, mais je me rend bien compte que

mes enfants ne m'aime pas.

Victor Jacquet (1143) Retranscription assurée par Brochard Paul Nov 2014

Archives famille Jacquet : Amiral (Herbert ?) Winslow

Archives famille Jacquet : Amiral (Herbert ?) Winslow

Victor Jacquet se souvient avec nostalgie de la "belle époque"
(1144)  Retranscription assurée par Leclerc Axelle 1er ST2S1

(1144) Retranscription assurée par Leclerc Axelle 1er ST2S1

En novembre 1912 nous étions invités par un charelain Billy Le

Compté Léon, Ambassadeur en Amérique, à une réception en

son(t) chateau de Marchienne au pont " Haïnnaut "

Cet homme était tres riche, propriétaire de grand moulin,

d'usines, de terre. mais sans enfants. il était apparente

avec la famille royale de Hollande.

Ce fut une une grande réception dans ce chateau historique .

.rovement de ces ancêtres, mais qu'il naimait pas.

Des suite de choses épouventables qui cétait passer dans les Oubliettes

situé sous une aile du Chateau, et qu'il avait fait muré et dallé

pour que personne ne les visittent.

Cette histoire d'oubliettes, avec exité la curiosité de nos deux jeunes

Américain et quelqu'invités de marque surtout des Dames.

M.Le Comte dut donner satisfaction a nos deux jeunes gens

invité d'honneur. Le lendemain matin une équipe de maçon

dégagais les ouvertures car l'air y était viçier, pourrie, le ..

nous disait qu'il lui r...... de revoir ces bras ford,

qu'il y était descendu une seule fois dans sa vie, au temps de sa jeunesse, et

qu'il en avait été traumatisé malade mais qu'il fallait quelques

jours pour purifier l'air et le terain et l'interieur de ces cavités,

ce qui nous permis de visiter tout l'intérieur de ce chateau.

Ensuite ce fut des parties de chasse, des randonnées

dans les régions environnante notament ou c'est déroulé la fameuse Bataille de Vaterloo

.

Nous étions favorisé par un beau temps sec, mais assez froid.

Ces oubliettes avait été en partie aéré désinfecté et l'après

midi, après le déjeuner, fut consacré a la visitte de ces cachot

mais les dames ne furent pas autorisé a descendre à

saventurer dans ce souterrain macabre, ce fut une déception.

L'ouverture donnai sur une entrée vouté, un escalier en pierre

a descente rapide tournents dans une salle sans lumière, muni de lampes

tempéte trois hommes nous attendais: nous les visiteurs, nous

étions muni chacun dun boujoire et bougis, la dans cette salle les bougies

furent allumer, au dire du chatelain cette première salle était la salle

des aveux, autour de cette salle de grosses boucles roullier et celler

au mur, une sorte de cheminée donnais sous le bisautage dune sorte

de Gargorille rempli de mousse.

Dans le fond de cette salle, une ouverture vouté, une entré descalier

en pierre, qu'il fallut descendre, et faire attention car les pierres

était glissante visqueuse, une corde avait été tendue de bas en haut

qui servait de rampe.

La au bas de cette escalier, une salle vouté de la même dimention que

celle du 1er sous sol.. Cette salle du deuxième sous sol était la

salle des torutes, mais déférait dans sont intérieur de celle du haut

au milieu de cette salle, une grande table en pierre trassive rugueuse, sur cette table

il y avait de grande pinces, des tiges de fer tordue, rongé par la rouille

Une grande auge sorte de baquet en pierre, dont un versant était usé

par le frottement des pinces et tiges de fer ou autre objet de torture

Victor Jacquet nov 1912 au chateau de Marchienne (1144) retranscription réalisée par Leclerc Axelle Nov 2014

(1145)  Retranscription assurée par Jouanneau Emilie 1er ST2S1

(1145) Retranscription assurée par Jouanneau Emilie 1er ST2S1

(1145)

Fixé à une masse de pierre, deux boucles munies de chaines rondes, deux cavités assez profonde, dans le mur en forme de four avec un avant de cheminée en pierre, venant sortir sous un l'armies bisautes donnant en haut de l'escalier du premier sous sol.

Cette salle des tortures servait aussi aux mariages des malheureux.

         Entre les deux cavités murales, un bloc de pierre rugueux se mouvait et donnait accès à l'entrée d'un petit escalier qui conduisait aux oubliettes. Le troisième sous sol : là - (où) personne ne voulu (voulait) descendre aux oubliettes, (car) c'était lugubre, mais, encouragé par M. Elmer et David, je me décidai à descendre cet escalier : en bas je constatai des niches creusées dans la roche à moitié démolies, infectée garnies de crachin. A ce moment, ma bougie s'éteignait. Je regagnai à tâtons, mon bougeoir éteint à la main, le petit escalier guidé par la voix de M. Elmer. Ma tête butait contre une masse de terre pourrie, je remontais l'escalier et réapparaissais à la salle des tortures dans un bien triste état, comparable à une sorte de ramoneur. Ce fut la rigolade, j'avais crées une diversion délirante, heureuse chez mes deux américains et autre.

Les invités quittèrent ces lieux lugubres dans une humeur de gaieté dont je fue le héro, la victime des oubliettes, de ce vieux château.

huit jours après, nous quittions ce château en compagnie de M. Lecomte et son personnel. Nous nous rendions à Bruxelles, au grand hôtel Royal, où un appartement nous était réservé.

Huit jours se passèrent à Bruxelles dans une (la) détente et le repos.

Je visitai la ville, les jardins, les musés, je trouvai la ville bien jolie, la population aimable.

Nos jeunes américains et M. le Comte avaient rendez-vous avec la Reine Wihelmine (Wilhelmine), pour passer les fêtes de noël en (dans) son château Decin Dlovennes "Hollande" .

Miss Korbine et l'amiral nous avaient rejoints à Bruxelles mais m'avaient confié leurs bagages et (pour) les transporter par train ce qui fait que j'avais une quinzaine de valise à faire acheminer par train. C'était une affaire à surveiller pendant ce trajet.

Eux, toute la bande, partait en voiture fermée conduit par des chevaux ou autres?

C'était mon service: moi, je prenais le train en gare de Bruxelles, en route pour la Hollande. Arrivé en gare de Turnhout, je devais descendre et prendre un autre train qui me conduisait à la frontière, où je devais passer la douane et ensuite reprendre un autre train.

A Turnhout j'avais deux heures d'attente, j'avais groupé mes bagages sur une sorte de quai, assis sur une valise, je regardais la route où je voyais les (des) attelages de chiens attelés à de petits chariots qui défilaient. Je croisais le conducteur assis dans ou sur le chariot (qui) les conduisaient comme des chevaux avec une lanière en cuir attachée aux (comme des) chiens de tête.

Je constatais que ces attelages se déplaçaient très vite.

Retranscription Emilie Jouanneau 1ST2S1 NOVEMBRE 2014

(1145)

Fixé à une masse de pierre, deux boucles munies de chaînes rondes, deux cavités assez profonde, dans le mur en forme de four avec un avant de cheminée en pierre, venant sortir sous un l'armies bisautes donnant en haut de l'escalier du premier sous sol.

Cette salle des tortures servait aussi aux mariages des malheureux.

Entre les deux cavités murales, un bloc de pierre rugueux se mouvait et donnait accès à l'entrée d'un petit escalier qui conduisait aux oubliettes. Le troisième sous sol : là - (où) personne ne voulu (voulait) descendre aux oubliettes, (car) c'était lugubre, mais, encouragé par M. Elmer et David, je me décidai à descendre cet escalier : en bas je constatai des niches creusées dans la roche à moitié démolies, infectée garnies de crachin. A ce moment, ma bougie s'éteignait. Je regagnai à tâtons, mon bougeoir éteint à la main, le petit escalier guidé par la voix de M. Elmer. Ma tête butait contre une masse de terre pourrie, je remontais l'escalier et réapparaissais à la salle des tortures dans un bien triste état, comparable à une sorte de ramoneur. Ce fut la rigolade, j'avais crées une diversion délirante, heureuse chez mes deux américains et autre.

Les invités quittèrent ces lieux lugubres dans une humeur de gaieté dont je fue le héro, la victime des oubliettes, de ce vieux château.

huit jours après, nous quittions ce château en compagnie de M. Lecomte et son personnel. Nous nous rendions à Bruxelles, au grand hôtel Royal, où un appartement nous était réservé.

Huit jours se passèrent à Bruxelles dans une (la) détente et le repos.

Je visitai la ville, les jardins, les musés, je trouvai la ville bien jolie, la population aimable.

Nos jeunes américains et M. le Comte avaient rendez-vous avec la Reine Wihelmine (Wilhelmine), pour passer les fêtes de noël en (dans) son château Decin Dlovennes "Hollande" .

Miss Korbine et l'amiral nous avaient rejoints à Bruxelles mais m'avaient confié leurs bagages et (pour) les transporter par train ce qui fait que j'avais une quinzaine de valise à faire acheminer par train. C'était une affaire à surveiller pendant ce trajet.

Eux, toute la bande, partait en voiture fermée conduit par des chevaux ou autres?

C'était mon service: moi, je prenais le train en gare de Bruxelles, en route pour la Hollande. Arrivé en gare de Turnhout, je devais descendre et prendre un autre train qui me conduisait à la frontière, où je devais passer la douane et ensuite reprendre un autre train.

A Turnhout j'avais deux heures d'attente, j'avais groupé mes bagages sur une sorte de quai, assis sur une valise, je regardais la route où je voyais les (des) attelages de chiens attelés à de petits chariots qui défilaient. Je croisais le conducteur assis dans ou sur le chariot (qui) les conduisaient comme des chevaux avec une lanière en cuir attachée aux (comme des) chiens de tête.

Je constatais que ces attelages se déplaçaient très vite.

(1145) Victor Jacquet en gare de Bruxelles - Retranscription Emilie Jouanneau 1ST2S1 NOVEMBRE 2014

1146 Retranscription assurée par Seigneuret Mathis 1er S3

1146 Retranscription assurée par Seigneuret Mathis 1er S3

Un homme d'un age avancé « 60ans » vint près de moi il m'adressa la parole en flamand, je lui répondit en français Nix-Gout ha il me dit vous êtes Français et de quelle Région. Je lui répondit natif de la région de Belfort moi me dit-il, j'étais aux mobiles avec général Denfer Rochereau a la guerre 1870-1871, j'étais engagé volontaire c'est pourquoi je suis ici dans un emploi réservé.

Je suis le chef de gare. Je lui dit mon père était avec vous aux mobiles a Belfort en 70 – 71

Il était si heureux de parler de Belfort des misères de cette guerre avec politesse, il m'invitait et m’entraînait chez lui, il demeurait dans une villa assez coquette, en brique rouge.

Il me présentait à sa Dame et sa fille mais elle ne parlais pas un mot de Français, mais elles étaient gracieuse, aimable. Il jugeait que j’étais inquiet pour les bagages, avec raison. Ne vous inquiétez pas de vos bagages, je prends toute les responsabilité me dit-il. Vous resterez dans votre train jusqu'au terminus c'est a dire à la frontière belge. Vous descendrez au café du « Trancemarchement », le propriétaire parle le Français, c'est un ami il se chargera de vos bagages pour passer les deux douanes, ensuite il les fera transporter dans le train Hollandais, en 1ere classe , pendant que nous discutions ces dames nous avais servis le café et des gâteaux et une bouteille de liqueur du genièvre.

(1146) Victor Jacquet avec le le chef de gare, ancien combattant de 1870 - - Retranscrition proposée par Seigneuret Mathis de 1er S3

Après il me dit, venez avec moi je vais vous montrez quelque chose la seule chose que jai rapporter de chez vous, regarder cette vigne qui entoure ma maison. En 1871 lorsque je suis été liberé de Belfort jai rapporter ce petit pied de vigne et je lai planter ici. J'y tien comme a mes deux yeux je recolte le raisin. Et par an je fais de 20 a 25 de vin il est bon, tener en votre honneur npus allons en boire une bouteille, sont vin était bon, du 8 a 9 degré. C'etait du klinton muscadé. Ce plis de provenait de Giromagny près de Belfort je voulai le payé, mais il me voulut rien savoir. Je ne savais comment les remerciés.

Le train arrivais en gare, je lai remerçiais de leur gentillesses et leur promettais, que si je repassai a mon retour a « nom du village » je viendrai les voires, car vraiment c'etait de braves gens malheureusement notre retour se fit par une autre direction arriver a la frontière Belge. Tout se passa pour le mieux Les Douanes franchie mes bagages était transportés dans le train Hollandai. dans mon compartiment de 1ere classe. Il neigait et il ne fesait pas chaud, je remarquai que la locomotive avait deux cheminées, cétait encore un modél 1888. a toute les gares le train sarrêtait, et des jeunes gens montaient c'etait des ouvrières, elles portaient toute des pantalons d'homme serré a la cheville mais elles étaient, et respirait la santée, par curiosité elles venait voire, mais aucune ne parlait le Français

(1146 bis ) Victor Jacquet - Retranscrition proposée par Seigneuret Mathis de 1er S3

(1147)  Retranscription assurée par Durand Paul 1er S3 - le sermon du prêtre flamant !

(1147) Retranscription assurée par Durand Paul 1er S3 - le sermon du prêtre flamant !

Arriver au terminus, il fesait un temps de chien des tourbillons de neige, heureusement pour moi deux carosse était la qui mattendait, mes bagages rassemblés compté et chargé dans un carosse fermé, je mengoufrais dans lautre avec une jeune fille que javais connus au Chateau de Marchienne; mon interprete.

Les deux carosses prirent la direction du Chateau il pouvait être 20h lorsque nous arrivions a ce château de Duizel. Tout le monde mattendais pour manger, quelle fête, oui jétais fatigué, le repas durat jusqua minuit, un valet me conduisit dans une belle chambre attenante a celle de mes jeunes américains, elle était bien chauffé, cela me fesait plaisir, le lendemain javais décidé de faire la grasse matinée, j'ai dormis comme un sonneur.

A 10h un valet mapporta mon déjeuner, un gros bol de café au lait, du beurre, des biscuits et des chataignes grillé décortiqués, ma toilette terminer, je frappais à la porte de mes jeune gens, je pénétrai a l'intérieur, elles étaient vides, une fille serveuse, parlant bien le Français me dit que tout les jeunes étaient parti pour quinze jours a la chasse dans un chateau a la frontiére de l'allemagne, ils étaient partis en traineau, par ce froid je plaignai m.David qui était frileux comme une fille, m.Umer était plus résistant.

Une dizaine de jours sétait écouler pour nous dans le calme jen profitais pour remettre de lodre dans la comptabilité, dans les affaires des jeunes gens.

Misse Korbane sa suite avait leur Hotel de Paris et M.L'Amiral était en voyage éclair. Miss Korbane retourna à Paris quelque jours après, c'était le retour surprise de nos chasseurs, M.David était malade, deux journés au lit, quelque grogue il était rétablis, nous en profitions, l'aprés midi pour faire une promenade en ville, nous allions dans les grand cafés ou nous dégustion un Viski (Whisky) ou un groge au Jinne, M.Davis disait que ça lui fesait du bien.

Je vois qu'il naimait pas beaucoup la Compagnie de certaine vieille Douanière d'un âge pas trop canonique et pas trop indiscrète qui fréquentais le Chateau.

Le samedi apres midi, les deux demoiselles belges, me dirent, c'est Demain Dimanche, nous allons a la messe de 10h au village voisin, vous venez avec nous; oui avec grand plaisir, nous partirons tous en cœur à 9h30. Jétais prêt sur le perron; jattendais le départ à ce moment M.Elmer me fit demander dans sa Chambre pour un renseignement, car eux aussi allait a la messe avec la grande famille, mais tous en traineau car il y avait beaucoup de neige.

(1147) Victor Jacquet au chateau de Marchienne - Retranscription assurée par Durand Paul 20 nov 2014

(1148)  Retranscription assurée par Brochard Paul 1er S3

(1148) Retranscription assurée par Brochard Paul 1er S3

Je partis a pieds, je traversais le parc, arriver près d'un

petit ruisseau je ne trouvais pas de pont, je métais égaré

Lorsque, j'entendis le son dune cloche, jobliquai sur

ma droite, traversai sur un pont, je forçai la marche

qu'and j'aperçu la flèche du clocher.

Je pénétrais sous le portique, 4 hommes se tenaient près

des cordes, le prêtre fesait sont sermon, je constatai

que les femmes étaient assise a droite tandis que les

hommes étaient à gauche, je nosais pas pénétrer plus en

avant, pendant le sermon du prêtre, il parlait en flamant,

Je constatai que cet homme de 50 ans, me fixait, élevait la

voix, je ne bougais pas, me tenait correctement près du

bénetin, et des quatres sonneures.

Je cherchai à comprendre ce que cet homme prêtre disait

en le regardant pieusement.

Tout à coup, comme si il avait été actionner par un ressort

il se dressat devant moi, comme un i et élevant la voie et me

désignaient du doigt à ces paroles.

Je compris que ces paroles et jeste était pour moi, et les

quatre sonneures me bousculire à la sortie.

Mécontant de moi, ne sachant quoi penser de cet incident

c'était ma faute, je navais qua être a l'heure, tout triste

je rentrai au chateau.

Je gardai cet incident pour moi et n'en parlait à personne

Comment cet incident est arrivé au Chateau, je lignor

mes deux Gentlemans me posèrent quelque questions au sujet

de cet incident, je le minimisai c'etait moi le fautif, je navais

qua être à l'heure,

Ce fût une belle histoire pour ce Prédicateur.

J'ignorais ce qui ce préparait. Les quatres sonneures furent

convoqué questionné sur ce sujet.

Le Dimanche suivant, je n'allai pas à la messe et demeurait

au Chateau, car ce jour la, il y avait une récéption grandiose.

Notre Prédicateur fut invité a ce déjeuner.

Sur la fin du repas, aux liqueures, Madame la Princesse

« Douarière », entama la conversation sur l'incident qui avait

eu lieu à l'église, le Dimanche avant, elle demandait au

Prédicateur des préçitions a ce sujet, ensuite elle lui présenta

le rapport des quatre témoins...toute cette conversation

se passait en langue du pay ; Elle paraissait furieuse.

Elle voulait punir cet homme, qui méritait une bonne leçon

Elle exigat , devant toute la société a table, qu'il me présentat

ces excuses et me demanda de le pardonner de cet incident.

Cet homme était bien malheureux, il était géner, il ne savait plus quoi

faire de sa personne, quand à moi je disparaissait à l'Anglaise et

prenai cette histoire à la rigolade.

Le lendemain matin au petit déjeuner de 8h les deux demoiselles

Belge, me dirent, cet apres midi, vous êtes iviter à prendre le thé

chez le Prédicateur, nous vous accompagnerons « c'etait un ordre »

(1148) Victor Jacquet - le serment du prềtre en flamant - Retranscription assurée par Brochard Paul 1er S3 le 22 nov 2014

Victor Jacquet se souvient avec nostalgie de la "belle époque"
Victor Jacquet lors de son voyage à Venise en 1913 ? piazza san Marco

Victor Jacquet lors de son voyage à Venise en 1913 ? piazza san Marco

(1149)  retranscription assurée par Dardeau Maxime 1er ST2S1

(1149) retranscription assurée par Dardeau Maxime 1er ST2S1

(1150) retranscription assurée par Recoursé Amédé 1er S3

(1150) retranscription assurée par Recoursé Amédé 1er S3

Monsieur l'amiral, voilà 15 jours que M Elmer et M David

sont partis a Londres sans donner leurs adresse, je comprend Victor

Il partit bessan la tête, quelques jours après, un Viatique*

assez important arrivais a destination des jeunes gens.

Nos jeunes Gentleman rentrait a paris et tout rentrais dans l'ordre

M L'amiral se présentai tout les matins a 10h il était

soucieux, nerveux, il demandait toujours des nouvelles

de sont fils ! Mais Elmer se sauvait, l'évitait.

La saison tirait a sa fin, les jeunes courraient les stations

Balnéaire, Les champs de course, les casinos, etc

L'amiral tomba malade, soignés par des spécialistes

Américains qui jugèrent une opération, vus cet évènement

M.Elmer et David rentrèrent à Paris, pour prendre

une décision avec les docteurs, l'amiral devait être opérer

dans le courant de l'hiver, il devait être transporté dans une clinique en

Suisse à Bâle, pour y suivre un traitement avant l'opération

cette affaire était sérieuse

Nos jeunes gens accompagnère en voiture, l'amiral

tandis que moi je partais avec les bagages par le train

un appartement nous était réservé a l'hôtel des trois rois

il se trouvait en bordure du Rhin, et au centre de la ville

l’opération eu lieu fin janvier 1914, elle avait bien

réussi au dire des Docteurs, l'amiral reprenait des forces il

allait de mieux en mieux, mais il (avait?) et craignait le froids



Page 2

ce qui l'obligeât a sa sortie de la clinique, de partir pour l'italie, ou

il descendit à milan à l'hôtel Régina.

M Elmer, David et moi avec les bagages, prenions le train de

Paris Milan et descendions à l'hôtel Cavour , un appartement

nous etaient réservé

Milan est une belle ville, propre, agréable, un beau soleil, et

face a l'hôtel l'entrée du parc Royal, ou il y avait de belle promenade

Les bagages de l'amiral était arrivé depuis quelques

jours en gare de milan.

Je recevais l'Ordre d'aller les dédouané et de la retirer

c'était une simple formalité du fit que ces baguages portaient

l'insigne diplomatique : mais un sous officier des douanes

m’obligas a les ouvrirent je lui dit qu'il n'avait pas le droit de chercher et de

fouiller une valise diplomatique, que j'en rendrais compte a

son propriétaire, ce fut encore une belle histoire

L'amiral furieux porta plainte, et le douanier fut déplacé

je crois que le roi d'italie, V-Emanuel III, a dut intervenir

à milan nous étions bien, la nourriture était excellents

M Elmer et David était au petit soin pour l'Amiral

qui lui avait repris une activité diplomatique, nous

en profitions pour visiter les villes voisine.

Nous somment aller à Karésé, ou nous y somme rester

quinze jours : au grand Hôtel du lac, et a l'hôtel régina

ou nous y demeurions huit jours


vj & Recoursé Amédé mai 2015

*note du transcripteur ; Viatique : provision, nourriture ou somme d'argent donnée pour un voyage

 

Archive famille Jacquet - carte postale Hôtel Cavour

Archive famille Jacquet - carte postale Hôtel Cavour

(1151) Retranscription assurée par Bouchauveau Aude 1er S3

(1151) Retranscription assurée par Bouchauveau Aude 1er S3

A notre retour à l’Hôtel Cavour, il était question de guerre, on ne le croyait pas, mais les esprits étaient échauffé, contre les Français, du fait que l'Italie était pour l'Allemagne.

Quelque jours après nous partions pour Ferrare, le Lido, Venise, le voyage dura 10 jours, nous avions visité toute la région qui est magnifique, surtout Venise à notre retour à Milan, on parlait toujours de la guerre. Une autre histoire se créai à Milan qui a failli se terminer tragiquement, c'était l'affaire de l'aviateur Pégoud qui donnai une démonstration de sont avion à l'aérodrome de Milan. Il y avait eu dans cette affaire un différent avec deux aviateurs un italien et un autrichien.

Je reçu une bonne paire de giffles par une mégère.

Je mettais rendus dans un grand magasin de Milan pour faire des emplettes, de cravates parfumerie, je parlais le Français avec un chef de rayon qui lui même parlais bien cette langue, il avait habité Lyon, quand se présente une mégère, qui se mis à m'insulter, et en même temps elle me colla deux gifles en me disant sale Français, sale Pégoud dans son jargon, elle fut arrété et expulser du magasin.

Le directeur du magasin me présenta ses excuses et l'affaire fut terminé, je nen parlais à personne.

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L'aviateur légendaire davent 1914, fut abattu en combat aériens le 31 août 1915 à Petit-Croix en Alsace.

Le 6 septembre à l'emplacement de sa chute, une couronne tomba des aires avec un ruban dessus était inscrit ces mots... De la part de son adversaire; Honneur à l'aviateur Pégoud tombé au combat pour sa patrie.

Ce ruban est au musé de l'armée.

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Je rentrais à l’Hôtel, M. Elmer était la tout triste, je me demandai ce qui était arriver, ils conversaient en Anglais, c'était sérieux avec M. David et un autre monsieur, d'un certain âge 60 ans peut-être, c'était un docteur américain, cétait au sujet de l'Amiral dont l'état de santé c'étais aggravé et ne donnai pas beaucoup d'espoir, monsieur Elmer décida de retourner en Amérique, et d'emmener l'Amiral dont l'état de santé était inquiétante. M. David c'était charger des formalités pour moi à l'Ambassade de France car je partais avec eux.

La tension de guerre entre l'Allemagne et la France était très tendue, comme j'étais dans mes 19 ans, mobilisable l'Ambassade, refusa les passeports et le droit d'embarquement pour l'Amérique... C'était la guerre, inévitable, M. Amor me dit de préparer mes baguages, et de retourner à Paris. Les rues de Milan étaient remplie de monde surrexité, contre les Français. Je réglai, ma comptabilité et remis la cassette de bijoux de famille estimer à plusieurs millions à M. Elmer. Je reçu des gratifications, et deux lettres de recommandation, que je devais présenter à mon arriver à Paris, mes adieux terminer. Une voiture de l'Ambassade Américaine me conduisit à la gare de Milan, le train était en gare, une place métait réservé en première classe, je me tassai dans un coin, et fesait semblant de dormir mais la frontière franchit, je poussais un soupir de soulagement, j'étais en Suisse.

Victor Jacquet est mobilisable - Retranscription assurée par Bouchauveau Aude 1er S3 le 20 novembre 2014

Victor Jacquet à Paris - au dos de la carte postale (!) " 2 avenue Emile Deschanel à Paris" près du champ de Mars

Victor Jacquet à Paris - au dos de la carte postale (!) " 2 avenue Emile Deschanel à Paris" près du champ de Mars

(1152) Retranscription assurée par Bouchauveau Aude 1er S3

(1152) Retranscription assurée par Bouchauveau Aude 1er S3

(1153)  Retranscription assurée par Marcadet Oriane 1er S3 (Victor Jacquet se souvient de juin 1914, avant la guerre)

(1153) Retranscription assurée par Marcadet Oriane 1er S3 (Victor Jacquet se souvient de juin 1914, avant la guerre)

Page 1 :

Juin 1914

à Paris à la gare de l'Est je pris

une calèche, qui me conduisis à l'hotel (hôtel) poncelet N9 près de

la place des Thermes, dont je connaissais le Propriétaire, il

me donna une belle chambre au 2ème étage.

Cette bousculade, ces événement(s) tragique(s) m'avait(ent) traumatisé

fatiguer(é), je me couchai(s) et dormis 24 h je songeais à ma nouvelle vie

je regardai(s) l'adresse de mes deux lettres que monsieur Elmer

m'avait confier(é), l'une était adresser(ée) à la Princesse Murat

Rue St Dominique . Paris, l'autre lettre était adresser(ée) au

Colonel Vicomte Fluiry au N°2 Avenue Emile Dechanes Paris

je postai(s) ces deux lettres, j'allais manger, ensuite je retournai(s)

dans ma chambre pour me reposer, je désirais prendre quelque(s)

jours de repos et me remettre dans l'Ambiance de Paris.

A l'entrée de l'Hotel (Hôtel), je buttai(s) contre un morceau de fere (fer) et je

metais (m'étais) fait mal au pied, je ne pensais pas que cela fut grave

mais le lendemain mon pied était noir, il me faisait mal je pris

un bain d'eau chaude et me massai(s) le pied, et l'entourait

d'une bande Velpeau, et restai(s) coucher(é), le garçon de l'Hotel (Hôtel)

mapportait (m'apportait) à manger : tout semblais sarranger (s'arranger) .

Je pensai(s) a mes deux Américains, nous étions si bien

ensemble, ils avaient une confiance illimité(e) en moi

a peu prés du même âge, nous vivions en famille comme des frères.

Page 2 :

Le lendemain matin le garçon d'hotel, me remis une

Carte lettre posté le 30 Juin 1914

Voici la teneur : M.Victor Jacquet est prié de se présenter chez moi, pour

éxamen de papiérs demain mercredi à 9h ou à midi, au N2 avenue

Emile Déchanel . Fleury .

À l'invitation de cette carte lettre, je ne me dérangais pas et restais

couché dans ma chambre a réfléchir, à mon mal de pieds et antré ? affaire

Le lendemain matin à 9h30, jetais coucher., on frappe a ma porte

qui s’ouvrit d'elle même : je vois un grand monsieur, 1m 80, mal

fiçellé, le type, officier de cavalerie modèle 1800, avec de grande

moustaches, plus la mouche, le nez aquilin, sec, maigre, une

canne sur le bras gauche, je meassurais de le recevoir au lit, car javais

mal à un pied, il voulu se rendre compte de la vérité, je lui montrai mon pieds.

Il me présenta une lettre en me disant, c'est bien vous, M.Jacquet

qui mavez expédier cette lettre au 2 Avenue E.Dechanel, oui, monsieur

c'est exacte, mais jignorai le contenu de cette lettre.

Et bien, Jacquet, c'est moi, le Colonel Vicomte Fleury, ma voiture est

en bas, si vous voulez je vous emmêne de suite chez moi, je vous

engage au même condition que l'Amiral Winston, vous serez

attachez exclusivement à mon service, vous serez loger et vous mangerai

avec le personnel de la Comtesse, je lui demandais un délai de 48h pour

laisser reposer ma jambe : il me fixa l'heure à laquelle, il viendrait me

me chercher avec sa Voiture.

(1149) Victor Jacquet gare de l'est à Paris en juin 1914 - Retranscription assurée par Marcadet Oriane 1er S3 le 20 nov 2014

Achives famillilaes famille Jacquet: carte postale Varese Grand Hôtel "campo dei fiori" au nord ouest de Milan

Achives famillilaes famille Jacquet: carte postale Varese Grand Hôtel "campo dei fiori" au nord ouest de Milan

1154   Touzani Gabriel 1er S3

1154 Touzani Gabriel 1er S3

A huit heure fixe,Le colonel était là : un domestique pris mes bagages, il les chargea dans la voiture ? il partis en vitesse en direction de l’(étoile) du champ de mars, elle s’arrêtait devant le luxueux immeuble, nous étions arrivés, un petit appartement, deux pièces n’étaient au 1ère étage, le colonel avait son bureau à son appartement au rez de chaussé, un jardin cloitré en fer où il y avait une petite porte privé donnant sur l’avenue, ce qui permettait au colonel de sortir et de rentre à l’hôtel librement son bureau et le téléphone, installé dans le hall le colonel était un peu dur d’oreille et parfois très fort, cela le gênait énormément au téléphone et pendant les conversations, discussions secrète qu’il avait avec les généraux qu’il recevaient, ces discussions portaient souvent sur les rumeurs de guerre, le matin il allait au ministère de la guerre, je pense qu’il devait avoir un bureau, l’après-midi nous allions nous promener, nous nous assaillons sous les arbres à la terrasse des grands cafés , nous discutions de chose et d’autre des bruits de guerre. Un jour il me dit : « quel âge avez-vous Victor, 19 ans vous allez être mobilisé, vous n’avez pas peur, non mon colonel la volonté de Dieu à la guerre, c’est bien triste, il songeait à son fils lieutenant au Maroc. Cela allé de plus mal en plus mal, des émeutes éclataient dans les rues, saccageaient le magasin, brisaient les vitrines le magasin laitier Magic furent pillés.





J’agitais le présent à les regarder, c’était des bandes de voleurs organisés, la police était impuissante. Paris était en ébullition. Le lendemain le colonel me dit : ma famille partira avec le personnel demain à midi par le train à les places sont retenues vous les accompagnerai à la gare. La gare était envahie, encombrés de charrettes de voiture de monde. Le train était parti avec 40 minutes de retard. Le bus le taxi il n’y en avait plus, je rentrais à pied, arrivé à l’hôtel le colonel était en train de bruler les papiers compromettant dans la grande cheminé, je lui rendis compte du départ de sa famille et de mon retour à pied. C’est bien Victor pour ma femme qui est si nerveuse Nous étions au 1er aout 1914. Seuls, le colonel et moi restions à l’hôtel, j’ai dû me transformer ce soir-là en cuisinier, en maitre d’hôtel, faire les courses en vitesse à Grenelle où le monde était déchainé, le colonel me dit : Victor vous êtes de bonne composition Jean Jouvier (Jaurès) était tué. Le colonel était allé au ministère de la guerre, a son retour il me dit : demain matin je dois partir, je suis nommé chef d’état-major à () en liaison avec les armées allié, il faut que je sois installé pour recevoir le premier élément de l’armée anglaise vous allez êtes mobilisé, vous êtes un garçon de confiance, vous n’avez pas peur, je vous confie l’hôtel. Les affaires vont prendre un tournant décisif peut être à notre avantage.

Maréchal French il commanda de 1914 à 1915 les troupes anglaises sur le front français.

(1155 ?) Victor Jacquet le 1er Août 1914 à Paris - Retranscription de Touzani Gabriel 1er S3 19 nov 2014

1155 la guerre est déclarée

1155 la guerre est déclarée

Au retour de Madame la Vicomtesse Fleury et de la princesse Murat vous vous tiendrez a leur disposition, pour une autre situation.


Le lendemain matin, de bonne heure le Colonel était en grande tenue militaire, il en imposait, c’était un bel officié, et un bon Françai il me remit de l’argent, et les clées de la maison.
Une voiture militaire était a la porte, la cantine embarqué, il me fit ses adieu, me serra la main, de la voiture il me crix encore Bonne chance Victor ; la voiture démarre, le Colonel était parti.
Je me retrouvai seule dans cet immeuble, avec ses richesses.
C’est a ce moment que je comprenai la responsabilité que j avais prise en temps de guerre.


Je fermais toute les persiennes, les fenêtres, les portes, je prenai possession de la loge du concièrge, je deumerai la, en attendant les évènements.


Le 4 (sic NDLR ) Aout 1914 la guerre est déclarés.
Les militaires qui venait d’être mobilisé, se groupais, les femmes pleuraient, les enfants accroché a leurs jupons criaient cétai la vrai pagaille, peu de ravitaillement ; peu de lumiere la nuit, la retraite de Belgique, de la marme, les troupes Allemande avençait sur Paris. les fermes, les villages flambais.
Paris ne parlai que du Général Galliéni, Gouverneur de la place de Paris, pour qu’il organise la défense, etc, etc.


Le conçièrge voisin, me dit cet après midi nous montons moi et ma femme au mont Valérien, il fait beau venez avec nous, vous nous tiédrez compagnie.
nous montanent a pieds cette colline qui est assez dur
Notre conversation roulais sur la guerre, les boches, etc.
Le temps était clair, ce concièrge, me montrant du doigt regarder cette fumée qui s’élève, c’est Senlis, Meaux qui est incendiés, la fumé tourbillonnais, après avoir contempler ce sinistre de guerre. nous reprenions le chemin du retour.


Dans Paris, une feuille de journal, était accaparé, c’était le journal « La presse » ou était décrêté la mobilisation générale des hommes, et la réquisition de tout les taxis de Paris, pour l’Armée « c’était la retraite de la Marne » c’était le Général Joffre, qui avais donner cet ordre au Général Galiéni.

cés taxis était charger de troupe dirigé sur le frond de la Marne
Le lendemain Paris était vidé de ses soldats la ville était triste et une misére était en vus, la population était démoralisé, je reçevais un mot du Colonel très court sur une carte lettre le 10-15 Septembre les troupes allemande était stopé sur le Marne même ils reculaient en vitesse, cétait une retraite
Paris délirais de joie, Paris reprenais joie et courage le ravitaillement sétait amélioré. une confiance renaissai
Le monde rentrais a Paris, cétait une pagaille joyeuse des comités de quartier se formaient, en vue de ramasser du linge pour faire de la charpie des pansement pour les Hopiteaux, et venir en aide aux combattants de la Marne.

(1155) Victor Jacquet - Mobilisation Générale Août 1914- Retranscription d'Alexine Fidé, 1ST2S1 20 nov 2014

ARCHIVES ET SOUVENIRS FAMILIAUX DES DERNIÈRES GUERRES, EXPOSITION PARTICIPATIVE - DU 9 OCTOBRE AU 29 NOVEMBRE BIBLIOTHÈQUE ABBÉ GRÉGOIRE, FONDS PATRIMONIAL

ARCHIVES ET SOUVENIRS FAMILIAUX DES DERNIÈRES GUERRES, EXPOSITION PARTICIPATIVE - DU 9 OCTOBRE AU 29 NOVEMBRE BIBLIOTHÈQUE ABBÉ GRÉGOIRE, FONDS PATRIMONIAL

Retranscription de Touzani Gabriel

Retranscription de Touzani Gabriel

Quelque jours se passait dans le calme, j’allais voir les à mon retour, je recevais un mot, que madame la Vicomtesse Fleury et la princesse à Paris avec leur (smali) de domestique. Naturellement, le concierge en tête. Je en vitesse de la loge de la concierge et regagnais mon petit logement.

Ma situation allait changer. A leur arrivait je constatais que ces dames était en parfaite santé, elles n’avaient pas souffert de cette tourmente de guerre. Biens calme, j’attendais la décision de ces dames et je me tenais à leurs dispositions.

La princesse Murat et la Vicomtesse Fleury avaient entre elles de nombreuses conversations au grand salon sur les faits, la tournure que prenait la guerre. J’ignore si elles dépendaient du comité de la croix rouge, je l’ignorais, elles formaient une œuvre pour venir en aide aux poilus de la Marne après m’avoir consulté, étudier, me prirent, m’engagèrent dans ce nouveau service où je suis les directives sous leur contrôle. 1er il fallait de l’argent, même beaucoup. 2ème constitué des stocks de vêtements et autre. 3ème un grand local. 4ème une voiture de transport. Nous disposons de tout ce que vous demande Victor et demain matin, vous aurez un camion militaire avec un chauffard sérieux connaissant bien la ville de Paris, en plus je vous donnerai des carnets en blanc et signerais, ces carnet étaient signé par la princesse Murat, je les complèterai d’après les factures reçues des magasins. Le lendemain matin avec le camion, je me rendais dans les grands magasins du Printemps, des G. Lafayette boulevard Haussmann, à midi mon camion était remplis de chemises, caleçons, chaussette, cache nez etc. J’en recevais plus que les factures n’en portait.

Victor Jacquet - (Retranscription de Touzani Gabriel le 22 novembre 2014)

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